Arbre généalogique des asdescendants et des descendants d'Emmanuel de Poncins

Emmanuel de Montaigne de Poncins

Emmanuel de Poncins
Le marquis Emmanuel de Poncins

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Jenny de Boisséson née Montaigne de Poncins

Jenny de Poncins
Jenny de Boisséson née Montaigne de Poncins

Maurice de Montaigne de Poncins (1863-1957)

Portrait de Maurice de Poncins

Fils d'Emmanuel, il est né en 1863. Après avoir effectué son service militaire, il aide son père à gérer l'exploitation agricole familiale avant de créer la sienne. A la mort de son père, il reprend l'exploitation et occupe des fonctions dans les assurances. Il s'implique beaucoup dans le Comice de Feurs, la Société hippique et la chambre d'agriculture. Il meurt en 1957 officier de la Légion d'honneur

Henry de Montaigne de Poncins (1892-1965)

Henry avec toutes ses médailles
Henry avec toutes ses médailles

Fils ainé de Maurice de Montaigne marquis de Poncins, Henry étudie à l'Ecole Centrale de Lyon. En 1914, il s'engage volontairement dans la cavalerie. Il serra décoré de la croix de Guerre et fait officier de réserve à la fin de la guerre. Il épouse Louise Vieillard. En 1939, il est rengagé au 19e GRCA et blessé en Champagne. En 1945, il repart combattre sur le front de l'Atlantique. Après la guerre, il s'occupera de l'amicale des anciens du 19e GRCA.

Georges de Montaigne de Poncins (1896-1965)

Fils de Maurice de Poncins, il s'engage volontairement lors de la Première Guerre mondiale dans la cavalerie. A la fin de la guerre, il rentre à Saint-Cyr et devient officier de carrière. En 1932, il est admis à l'école de guerre et fait la campagne de 1940 comme officier d'état-major.

Jean de Montaigne de Poncins (1897-1966)

Il est reçu au baccalauréat et en juillet 1915, il s'engage volontairement à Lyon pour servir pour la durée de la guerre au 2ème régiment de dragons. passant succecivement brigadier puis maréchal des logis. Après la guerre, il étudia à l'école Centrale de Lyon et reçu le brevet d'ingénieur.

Il épouse le 7 aout 1923 Adrienne Michaux et entre aux usines de Baccarat dirigées par son beau-père. Après sa mort, il devient Administrateur Délégué résidant à Paris.

Alfred de Montaigne de Poncins (1865-1940)

Alfred de Poncins
Alfred de Poncins au mariage de Raoul

Après avoir réussi son baccalauréat, il étudie à l'institut nationale d'Agronomie. Il effectue son service militaire au 7e régiment de chasseurs à Moulins

Puis, il vient s'installer dans la Loire et fit construire le château de Saint-Anne qu'il occupe avec sa famille. Il vit aussi une partie de l'année à Angers où il donne des cours à l'Ecole d'Agriculture de la ville. Il rédigea aussi des articles dans la revue de la Société d'Agriculture de France et servit de conseiller technique à l'union des syndicats du Sud-Est participant à des missions d'étude et à la rédaction de manuels

Charles de Montaigne de Poncins (1868-1958)

Charles de Poncins et sa femme
Charles de Poncins et sa femme au mariage de son fils, Raoul

Il est ingénieur agronome

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Pierre de Montaigne de Poncins (1898-1993)

Pierre ww1
Pierre lors de la Première Guerre mondiale

Né à Carpentras et ayant été admis au baccalauréat, il rentre à l'Ecole polytechnique et suit par la suite l'école de Génie d'Angers comme Aspirant. Il finit la guerre Sous-lieutenant. A la fin de la guerre, il reprit ses études d'abord à Polytechniques puis à l'Ecole des Mines de Paris.

Il fut d'abord ingénieur à Rouen puis dans diverses entreprises dans la Loire. Il finit sa carrière en 1961 comme ingénieur en chef et vient s'installer à Saint-Anne.

Raoul de Montaigne de Poncins (1901-1996)

Mariage de Raoul de Poncins
Raoul et sa femme lors de leur mariage

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Robert de Montaigne de Poncins (1902-1987)

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Thérèse de Montaigne de Poncins (1872 - )

Née en 1872, elle fit ses études aux Places puis s'occupa de sa mère malade jusqu'à sa mort en 1894 servant de maitresse de maison et de garde malade puis elle continua avec son père.

Après 1896 et du second mariage de son père, elle alla s'occuper des enfants de ses frères et soeurs et des oeuvres paroissiales comme le catéchisme, le choeur de chant, jouait l'harmonium, ...

Vonlant se consacrer uniquement aux malades et aux pauvres, elle s'installa dans une maison près de l'Eglise de Saint-Cyr avec peu de confort. Elle arpentait la campagne nuit et jour par tout temps pour s'occuper des malades et des mourants

En 1939, Saint-Père lui accorda la médaille "Bene Merenti" qui lui fut remise par le curé de Marclopt